Des références lourdes de promesses…
Drifter, le studio derrière Lies Beneath, doit avoir particulièrement confiance en son jeu pour se permettre de convoquer les deux plus grandes séries du genre. Celles qui l’ont fondé, même. Autrefois paisible, la petite ville de Slumber, en Alaska, n’est pas en ce moment sous son meilleur jour… C’est ce que va découvrir Mae, qui rentre de la fac, et découvre sa ville natale infestée de créatures monstrueuses menaçant son père et sa santé mentale !
Le jeu est un survival horror avec un aspect action très prononcé, mais n’oublie pas les fondamentaux en proposant de multiples puzzles et énigmes que Mae et les joueurs devront résoudre, afin de comprendre ce qui se trame à Slumber. Afin de progresser parmi les créatures cauchemardesques, on pourra compter sur une large variété d’armes à feu ou de mêlée. Au-delà des références aux canons du genre, la direction artistique du titre s’oriente du côté du comic-book. L’identité graphique du jeu fait en effet penser à un filtre qui voudrait transformer une photo en une case de BD. Un usage particulier du cell shading qui rappelle un peu la patte graphique de la toute première saison de The Walking Dead dans sa version Telltale.
Lies Beneath sortira en exclusivité pour les casques VR Occulus. Il sera ainsi téléchargeable pour le casque Occulus Quest dès le 31 mars, puis le 4 avril pour les modèle Rift. C’est l’absence de câbles du modèle Quest qui a, de leur propre aveu, convaincu les développeurs de travailler pour Occulus. Et avec les nombreux surgissements que met en scène la bande-annonce, il est vrai qu’on risque d’avoir par réflexe quelques mouvements de recul qui pourraient s’avérer dangereux avec un casque filaire ! On en frissonne d’avance…
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