L’héritage de Zelda: Breath of the Wild – Pourquoi crier au plagiat est insensé

Breath of the Wild
S’abonner
Notification pour
guest

1 Commentaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
Riku

Breath of the Wild est déjà la figure de proue d’un genre, l’aventure-action. Il a prouvé que la codification « Ubisoft » du monde ouvert pouvait être évitée. Pour autant, ce n’est pas le premier jeu du genre à le faire, même si celui de Nintendo a véritablement établie de nouvelles règles et ouvert à de nouveaux horizons.

Concernant le plagiat. Il est vrai que Fenix Rising partage certaines choses avec le dernier Zelda, comme son level design, ses « donjons », ses énigmes environnementales et une map assez ressemblante sur ses principes de base. Cependant, dès que l’on aborde le ton, la narration, l’univers, le gameplay des combats ou encore le trop plein de choses inutiles à faire sur la map, on reste sur du Ubisoft pur jus.

Il y a bien des suiveurs et des décideurs, comme dans le cinéma ou même la peinture et la sculpture, des précurseurs qui de par leur œuvre en inspire d’autres. L’important est de personnaliser son œuvre alors, d’emprunter, tout en créant aussi quelque chose d’unique.

Il n’y a plus beaucoup de plagiat dans le monde du jeu vidéo AAA ou AA, on en trouve surtout dans le milieu du jeu indé, moins exposé, moins surveillé et plus propice à ce genre d’exercice. Alors oui, il est injuste de parler de plagiat pour des jeux de cette envergure et je pense plutôt que Nintendo est flatté par Fenix Rising qu’enragé. Surtout Miyamoto avec son égo surdimensionné.