Hello Games continue sa formidable lancée, et nous livre une autre mise à jour majeure de contenu pour No Man’s Sky, sobrement nommée, Worlds Part 1. Celle-ci se révèle pleines de belles surprises, notamment en terme technologique et d’ajout d’algorithme, remettant, par la même occasion, encore un taquet derrière la nuque aux traînants Starfield et Star Citizen. Alors cela vaut-il le coup de relancer notre jeu spatial préféré ?
Décidémment, le studio ne lâche pas sa poule aux oeufs d’or, malgré l’annonce récente de Light No Fire, leur prochain projet plein de belles promesses, la principale étant une planète à l’échelle 1:1 par rapport à notre magnifique Gaïa. Oui, rien que ça.
No Man’s Sky est déjà un jeu débordant d’activité et de contenu, certes cela donne à l’expérience un côté un peu fourre tout, mais en même temps, tellement enivrante. On ne peut contester l’amour porté par les développeurs à leur oeuvre.
Plongeons tout de suite au coeur de ce que propose Worlds Part 1, le plus gros morceau, les avancées technologiques sur le visuel, avec de nouveaux algorithmes de rendu sur la volumétrie. Tout d’abord, refonte totale des nuages, interagissant directement avec la météo, se désintégrant avec le temps, ou encore l’ajout de cirrus ou de nimbus chargé d’eau dans la variété de nuages présents.
Vient ensuite la refonte du rendu de l’eau, et donc des planètes océaniques, avec des vagues qui réagissent directement aux conditions météorologiques, de la génération d’écume, de la réflexion sur la surface, etc. Les océans de No Man’s Sky viennent donc fricoter avec les cadors du genre, comme la superbe eau de Sea of Thieves. Rajoutons que chaque planète à son propre pattern de vent désormais, les rendant plus vivantes que jamais.
Le vent se lève, les vagues s’agitent et les nuages chargés de pluie se rassemblent, c’est donc qu’une tempête éclate. Voilà comment tous ces ajouts interagissent ensemble au sein des mondes peuplant cette galaxie, ce qui leur donnent une cohérence remarquable.
Passons rapidement sur les ajouts obligatoires comme de nouveaux biomes, par exemple des planètes aux températures négatives, mais surtout des îles flottantes sont présentes dans le ciel. Avec ces nouveaux environnements, viennent naturellement des ajouts à la faune et la flore, et bien entendu, de nouveaux ennemies et infrastructures à découvrir.
Et enfin, qui dit nouvelle mise à jour, dit nouvelle expédition ! Helldivers 2 étant passé par là, le joueur combattra des hordes d’insectoïdes géants fortement inspirés de Starship Troopers.
No Man’s Sky, avec sa mise à jour Worlds Part 1, disponible tout de suite, et pour sa neuvième année d’existence, nous prouve une nouvelle fois que l’avenir semble encore radieux pour lui, et comme vous pouvez vous en douter, ce n’est que la première partie du contenu à venir. Pour les intéressés, les détails de tous les ajouts sont listés ici.
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