Les prétendants au succès de Pokémon commencent à être nombreux, très nombreux même. En même temps, c’est naturel, car en évoluant (plus ou moins bien en fonction des épisodes), la licence de Game Freak, qui vient tout juste de souffler ses 25 bougies, a ouvert la porte à un monde de possibilités dans lequel nombre de studios et éditeurs essaient de s’engouffrer.
Vous voulez du multi stable ? Vous avez Temtem. Une expérience plus parodique ? Pourquoi pas une partie de Nexomon ? Un peu de life-sim ? Ova Magica arrive bientôt. Et pourquoi pas du bon vieux pixel-art, alors ?
Audacieux, non ? Sûrement pas. Aujourd’hui, on peut sans doute se dire que la grande mode du pixel-art arrive à terme et qu’il faut bien plus qu’une esthétique 8-bits ou 16-bits pour séduire. Il faut dire que pour chaque Minit, CrossCode ou Dead Cells, on a aussi eu des titres peu inspirés tels que la liste infinie de jeux à 2 balles qui se frayent un chemin sur Nintendo Switch chaque semaine. Alors, dans tout ce fatras, où se situe donc Coromon ?
Coromon, c’est quoi ça ? Il s’agit d’un énième projet européen désireux de faire de l’ombre à Pikachu. Celui-ci vient des Pays-Bas et est développé par deux hommes ambitieux (leur studio TRAGsoft est littéralement l’acronyme de Two Ridiculously Ambitious Guys) qui souhaitent faire plus que de proposer un Pokémon-like en pixel-art. Effectivement, le titre en question reprend la formule de base de Game Freak et y ajoute (ou y remet) un certain nombre d’éléments bienvenus.
Si on passe sur les possibilités de personnalisation du protagoniste offertes (sur un personnage minuscule composé de carrés, c’est très accessoire), le titre propose deux slots de sauvegarde, des niveaux de difficulté impactant réellement la progression, mais surtout un système de customisation complet pour vos petites bestioles.
Si chacune de vos créatures dispose bien de stats personnelles et de compétences et talents propres, le soft vous propose d’avoir le dernier mot sur les progrès de vos monstres en dépensant des points afin de les spécialiser selon vos goûts et/ou envies (rejouabilité infinie donc avec près de 120 bêtes).
Alors si on peut reconnaître qu’il n’a pas inventé l’eau chaude, ses idées sont, sur le papier, assez séduisantes. Libre à vous de les mettre à l’essai dès aujourd’hui puisqu’une version de démonstration du jeu (soit une démo) est déjà disponible sur Steam. Coromon sortira sur PC et Mac (via Steam) au cours du troisième trimestre de cette année. On serait curieux de savoir ce que vous en pensez d’ailleurs, n’hésitez pas à nous faire vos retours.
Bien d’accord avec toi CTK. J’ai moi aussi beaucoup aimé la démo (chose que les auteurs des précédents commentaires n’ont pas su relever…). Le jeu a du charme, est franchement joli (c’est du beau pixel-art quoi) et il offre un spin (lol) intéressant à une formule qui a 30 ans. Je pense que les quelques idées originales de TRAGsoft sont bonnes et que le titre mérite qu’on en parle (ou du moins, qu’on le suive). Bref, hâte de le voir disponible !
Pour avoir fini la démo, c’est très bon!
De bien meilleur sensation que sur Pokemon Noir 2 titre qui m’a fait arrêter la série avant le drame de soleil, lune, épée et bouclier. Plus dure que les derniers jeux pokémon, les évolutions et les coromons en général sont très cool
Tres bonnes idées comme les 3 types de potentiel qui permette une plus grande marge de progression du coromon en fonction de sa rareté (commun, puissant et parfait: qui se traduit par des apparence différentes.) Le jeux est beau !
J’ai pas joué au jeu juste vu des vidéos/trailer mais par rapport a cet article je n’ai qu’une chose a dire :
Ok boomer .
Ok boomer !
Pour un mec qui met dans sa bio qu’il aime les gros pixels, la plupart des reproches concernent le style graphique du jeux. Aucune autre info si ce n’est qu’il y a « un certain nombre d’éléments bienvenus. »
Pour un gamer qui s’approche de la retraite (encore dans la bio), je n’aurais qu’une chose à dire: ok boomer