Cyberpunk, l’autre.
Des néons, des taxis volants, une musique électro-synthwave, de la pluie et une nuit qui n’en finit pas. Vous pensez Blade Runner ? Bonne réponse. Aussi. Car ici, il ne s’agit ni du film de Ridley Scott, ni du roman de Philippe K. Dick dont ce dernier est tiré, mais du RPG d’aventure en open-world, Cloudpunk.
« Un récit noir et néon. Une métropole cyberpunk noyée sous la pluie. C’est votre première nuit en tant que livreuse pour Cloudpunk, et il n’y a que deux règles : ne ratez pas une livraison, et ne demandez pas ce qu’il y a dans le colis. »
Voilà pour l’ambiance et le scénario, tels que décrits par les développeurs. Certes, rien de bien nouveau… mais en se penchant sur les premières images, on se dit que l’univers de Nivalis, mégapole tout en verticalité du jeu, aussi classique soit-il, pourrait bien nous séduire ! Le jeu est réalisé entièrement en voxels (des pixels en volume… des petits cubes, quoi !), ce qui lui donne d’emblée une identité graphique forte. Avec une composante narrative importante, une cité futuriste peuplée d’I.A., d’androïdes et d’humains pas toujours commodes, s’étendant à 150 km sous terre et 1500 km dans le ciel, et la possibilité de l’explorer à pied ou en véhicule, Cloudpunk nous fait la promesse d’une grande aventure.
« Au cœur de Cloudpunk, il y a ce qu’il en coûte de s’en sortir dans une ville. Qu’il s’agisse de New York dans les années 80, de San Francisco aujourd’hui ou d’une ville futuriste dans mille ans. Que ce soit la richesse, l’individualité ou les difficultés, ce sont des notions connues de tous. » – 06, directeur du studio ION Lands
Jeu indé développé par le studio berlinois ION Lands, Cloudpunk sortira sur PC le 23 avril prochain, et devrait être porté sur PlayStation 4, Xbox One et Switch un peu plus tard dans l’année.