Sorti l’année dernière exclusivement sur consoles Xbox Series (et PC), Scorn s’apprête à se faire une seconde jeunesse dans une version PlayStation 5, amenant avec elle fonctionnalités inédites et édition physique. Avant de détailler le tout, des présentations en bonne et due forme s’imposent. Pour ceux qui découvrent le titre à la lecture de ces lignes, soyez prévenus, il n’est pas à mettre entre toutes les mains tant son univers cauchemardesque peut dérouter. Comme en atteste notre critique de l’époque (à retrouver plus bas), Scorn est avant tout une sombre promenade dans l’horreur du maître HR Giger à la fois fascinante et éprouvante. Pas de gunfights frénétiques, en ces lieux de désolation, on préféra éviter toute rencontre afin de trouver la sortie au plus vite.
Cette version PlayStation 5 n’est pas un simple portage et viendra avec une poignée de nouvelles fonctionnalités liées à la DualSense. Sans dialogue, Scorn mise tout sur sa narration environnementale, et quoi de mieux que le retour haptique des manettes pour accentuer l’immersion ? Les gâchettes s’adapteront en fonction de l’action du personnage pour ressentir davantage la douleur affichée à l’écran, une expérience renouvelée qui peut faire la différence. Surtout qu’on ne va pas se le cacher, le retour haptique, vendu comme une innovation majeure à la sortie de la PlayStation 5, se fait assez timide sur les récentes sorties. La vibration et la barre lumineuse serviront également cette expérience renouvelée.
Alors oui, ces points peuvent paraître assez superficiels, mais dans un jeu qui s’apparente plus à un walking simulator, où l’ambiance est primordiale, ils deviennent intéressants. On a hâte d’avoir la DualSense entre les mains pour constater le résultat. On essaiera de vous sortir un article dédié à la sortie. D’ailleurs, Scorn (version PS5) est attendu pour le… ah non, toujours aucune date précise. On devra se contenter d’un plus tard cette année…
Attendez, ce n’est pas tout. Cette sortie sera accompagnée d’une édition physique dite deluxe comprenant les éléments suivants :
- Le jeu (c’est déjà ça par les temps qui courent)
- Un steelbook (du plus bel effet)
- Un Digital artbook (on aurait préféré un ouvrage physique, surtout qu’il y avait largement la matière)
- Digital OST (composée par Aethek & Lustmord)
Fiche de Perso #18 – H.R. Giger, d’Alien à Scorn, anatomie du cauchemar
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