Le spin-off Rune Factory: Guardians of Azuma ne sera donc pas, à l’instar du cinquième opus canonique, exclusif aux seules machines de Nintendo et Steam. Et, quelques mois après sa sortie initiale sur les deux Switch, le titre arrivera enfin entre les mains des utilisateurs PS5 et Xbox Series dans une version proposant évidemment toutes les mises à jour dont a pu bénéficier celle qui l’a précédée le 5 juin dernier.
Plus précisément, c’est le 13 février 2026 que se proposera une nouvelle fois le monde féerique de cet énième Rune Factory. Un monde frappé par un mal venu des cieux, fragmenté et dont les divers territoires ont été dispersés on ne sait où, dans le ciel ou dans la mer. Des lieux que découvriront bien évidemment les joueurs invités dans une quête contre les œuvres du mal au cours de laquelle ils seront amenés à réunifier la force naguère protectrice.
Cultiver la douceur !
Et c’est au travers de l’un des ses deux héros, appelé à l’aventure par un rêve prémonitoire, que se vivra cet action RPG, qui, selon la formule consacrée par la saga, oscillera entre divers genres dont la simulation de vie, bien entendu. Entre deux combats, Guardians of Azuma laissera donc de la place à la douceur, et ce, grâce à des moments plus « cosy », plus bon enfant.
Au programme : culture de terrain, reconstruction et expansion de village, aller à la rencontre de nouveaux amis et approfondir ses relations… Bref, tant de joyeusetés et positivités offertes au public qui, s’il est un tant soit peu familier de l’univers, ne sera pas dépaysé. Mais peut-être sera-t-il assez émerveillé par la tonalité instillée par Marvelous. Et il y a effectivement de quoi attirer l’attention, surtout ceux friands d’imaginaire japonais ; les décors du jeu, aussi bien que son esprit, en étant (d’après le descriptif) totalement baignés.
Si l’univers vous intéresse donc, mais que vous ne soyez pas totalement convaincus par la présentation faite en vidéo, on vous conseillera d’aller ici et là recueillir quelques avis (dont le nôtre évidemment), qui, bien que nuancés, soulignent le potentiel de l’œuvre. Et dans le cas où ces derniers auraient réussi leur mission, il ne vous restera plus qu’à être présent à la sortie de début février.
Seulement, il risque forcément d’avoir quelques déçus. Car, si une édition physique est bel et bien prévue, il y a certaines limites la concernant. D’une part, elle n’est qu’accessible par l’intermédiaire d’Amazon. Ensuite, elle concernera seulement la console de Sony… ce qui n’est pas étonnant soit dit en passant. Et enfin, dernier point fâcheux : Marvelous ne nous offrira qu’une seule proposition, l’édition standard.
Pour davantage de choix, il faudra donc inévitablement se tourner vers un format numérique, lequel en compensation du manque de contenu matériel bien tangible comportera un accès à un skin issu de Rune Factory 4. C’est alors que vous pourrez approcher une édition Deluxe pour 69.99 euros et une Super Deluxe fixée au prix de 79.99 euros. Ce qui fait certes un peu cher, à moins d’être un inconditionnel au point de vouloir posséder un artbook et la bande-son (sous format numérique toujours).

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