Suite aux problèmes liés aux Joy-Con, Nintendo répare gratuitement votre manette de Nintendo Switch.
Nombreux sont les joueurs sur Nintendo Switch qui ont été surpris de constater que, lorsqu’ils utilisaient leur Joy-Con en mode sans fil sur leur télévision, un problème de désynchronisation de la manette gauche avait lieu. Un souci absent lorsque la Nintendo Switch est utilisée en mode portable, c’est-à-dire lorsque les manettes sont accrochées sur les côtés de la console. Quoi qu’il en soit, si vous faites partie de ceux dont la Joy-Con gauche rencontre ce fameux problème de connectivité, pas de panique, Nintendo a trouvé la solution.
En effet, d’après la firme nippone, le bug provient d’une variation de fabrication, qui peut être corrigée en ajoutant un morceau de mousse pour isoler l’antenne Wi-Fi de la manette. Bien sûr on ne vous recommande pas de le faire par vous même au risque de causer plus de dégâts que d’en réparer. Alors pour que votre matériel soit entre de bonnes mains, il vous suffit simplement d’appeler le service client de Nintendo et de faire une croix sur vos soirées sur The Legend of Zelda: Breath of the Wild pendant environ une semaine, le temps moyen de la réparation. Un service totalement gratuit.
Mais Nintendo aurait eu conscience de ce problème et de ce moyen de résolution depuis un certain temps. En effet, un journaliste de chez Cnet.fr (site spécialisé dans les tests de produits high-tech) n’ayant pas eu la patience d’attendre que sa manette soit réparée par Nintendo, a décidé d’acheter une Joy-Con neuve sur Amazon. Après ouverture des deux contrôleurs pour les comparer, celui-ci a pu constater que, bien que n’ayant pas de mousse protectrice, la manette vendue par Amazon fonctionnait à la perfection.
Il a également remarqué que le code du circuit imprimé de la manette Amazon n’était pas le même que celui de la Joy-Con originale. Selon lui, cela signifie que Nintendo a modifié son processus de fabrication depuis l’édition des premières manettes, afin de corriger le problème de connectivité à la source. Une hypothèse que la firme japonaise refuse pour l’instant de confirmer.