… mais du Castlevania dans votre petite poche !
Castlevania, c’est un peu comme Zelda ou Final Fantasy : quand on évoque le sujet, chacun défendra bec et ongles son épisode préféré. Pour certains, ce sera Super Castlevania IV, un monument de la SNES. Pour d’autres, Rondo of Blood, la pépite PC Engine. Pour d’autres encore, l’un des magistraux opus GBA. Mais le nom qui reviendra le plus souvent, ce sera probablement Symphony of the Night. Et si vous l’aviez manqué sur les diverses plateformes qui l’ont accueilli, la séance de rattrapage est là, dans vos poches, et à petit prix…
Symphony of the Night remonte à 1997 et à la PlayStation. On y incarnait, pour une fois, non pas un Belmont, comme dans les autres Castlevania, mais Alucard, le fils même du grand méchant de la série, Dracula. Le jeu, avec Super Metroid sur SNES, aura été l’un des pionniers de ce que l’on appelle désormais le genre metroidvania, à savoir, des jeux labyrinthiques au sein desquels l’évolution de notre personnage, notamment via l’acquisition d’items secrets, permet de poursuivre toujours plus loin sur la map dans des zones préalablement inaccessibles.
Castlevania: Symphony of the Night, by Konami of course, est désormais disponible sur appareils iOS et Android pour la très modique somme de 3.49€. Il tombe à pic pour le lancement de la saison 3 de Castlevania sur Netflix (une série animée très sympa, ce qui n’est pas toujours le cas avec les adaptations vidéoludiques en films ou en séries).
Notez que Symphony of the Night est jouable au tactile, mais pour avoir expérimenté les deux suite à un instant-buy compulsif, votre Humble Narrateur vous recommandera l’utilisation d’un pad compatible avec les mobiles ou d’une tablette munie de boutons physiques. De fait, sur petit écran en mode tactile, il est fréquent de rater la « touche » d’attaque au mauvais moment, et dans ce jeu, contrairement à beaucoup de jeux mobiles, il n’est hélas pas possible de configurer le positionnement des touches virtuelles comme bon nous semble… Rien de rédhibitoire, mais quand même, il faut un petit temps d’adaptation.
Allez, un petit trailer pour finir, et n’hésitez pas à profiter de ce jeu superbe, aux musiques magiques, qui a bercé bien des jeunes joueurs en son temps…
Oh, et au fait… Les petits suppléments qui consistaient à pouvoir jouer Richter (un des Belmont justement, qui débutait l’épisode après avoir vaincu Dracula) et Maria, une tueuse de vampires également bien connue des adeptes de la saga, sont jouables dès le début du jeu… Si c’est-y pas beau ça !
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