Ça y est, la PGW 2017 a enfin officiellement démarré ! Pendant 5 jours, on retrouve des stands de jeux de toute sorte, des éditeurs, des compétitions et bien plus encore. En ce soir d’avant-première presse, je me suis aventurée dans le pavillon 2, dédié principalement aux jeux indépendants ou « pour enfants ». En voici mes impressions.
C’est la première chose qu’on voit en entrant dans le salon, après le #PGW à taille humaine qui accueille le visiteur : les stands des écoles de jeu vidéo. De toute la France et de toutes les disciplines, leurs élèves discutent avec plaisir de leur école et de leur parcours. C’est l’endroit où aller vous renseigner si vous pensez faire une carrière dans le jeu vidéo !
Immédiatement après cet espace se trouvent les deux stands de jeux indés du salon : les jeux Made in France, et l’Indie Garden qui rassemble des équipes de développement du monde entier, même si la plupart sont françaises. Dans celui-ci, assez petit, on trouve notamment les devs de Figment, Orwell, Think of the Children et Shift Quantum, des jeux assez variés finalement, déjà sortis ou en passe de l’être, que vous pouvez tester sur le stand tout en discutant avec l’équipe présente sur place.
Le stand Made in France est bien plus imposant ! Sur deux des côtés de l’emplacement se trouvent des séries d’écrans portant chacun sur un jeu différent, avec une équipe différente. C’est l’occasion de tester des jeux de toutes sortes, à différents stades de développement. Coup de cœur particulier pour Hacktag, un jeu d’infiltration et de coop comme on en voit trop peu. En pénétrant ensuite à l’intérieur du stand, se trouvent une expo, toute une partie sur Absolver, un espace plus important réservé à un FPS, un autre présentant un MOBA sur trois niveaux verticaux (assez étrange à prendre en main), et une partie où se pressent à nouveau différentes équipes de développement qui n’ont rien à voir les uns avec les autres. Si vous aimez les puzzles, on vous recommande de vous approcher de Swim Out, qui se base sur un principe tout simple – sortir d’une piscine en avançant case par case, sachant que des obstacles et d’autres nageuses se déplace à chacun de nos déplacements, mais est agréable à l’œil et d’un juste niveau de difficulté.
La PGW 2017 dispose également d’un espace librairie, avec des livres sur le jeu vidéo et ses graphismes, mais aussi des DVD des Youtubers, bref, de quoi faire votre bonheur ! En parallèle, la BNF expose également, les jeux qu’elle conserve en archive notamment.
Et justement, pour les gens de jeux rétro, le stage de l’association MO5.com est fait pour vous ! Une vingtaine de jeux sont exposés et jouables (sous réserve des places disponibles… Préparez-vous à un peu d’attente selon l’heure de la journée). Il est aussi possible de jouer à Hyper Olympics dans un coin du salon : un jeu de course contre un autre joueur, où on doit courir le plus vite possible sur un plateau qui s’incline sous nos pas. Rapide et plein d’éclats de rire, c’est un bon passage pour se changer les idées.
Enfin, pour les enfants et les parents, la PGW 2017 junior propose un espace UCPA avec du vrai sport, encadré par des professionnels, ainsi que le stand PédagoJeux qui renseigne et rassure les parents sur l’impact des jeux vidéo sur leur enfant.
Cette PGW 2017 nous propose donc un contenu copieux, et encore ce n’est que le pavillon 2 ! Pour profiter de toutes les merveilles de ce salon, rendez-vous à la Porte de Versailles de Paris, jusqu’au dimanche 5 novembre.