God of War 4 nous offre un trailer de gameplay percutant.
Depuis son annonce à l’E3 2016, God of War 4 nous fait de l’oeil. Des trailers époustouflants se succèdent pour cet épisode qui marque de nombreux changements dans la légende de Kratos, le plus hargneux des héros de jeux vidéo. Finie la mythologie grecque (en même temps, il ne restait plus beaucoup de dieux à massacrer après God of War 3 dont vous retrouverez notre test du remake), et fini l’antihéros hurlant sa rage à chaque seconde. C’est un Kratos apaisé et plus serein que nous suivons dans ses voyages dans les terres nordiques. Et cette fois-ci, il est flanqué de son fils Atreus.
Sony et Santa Monica Studios ont profité de la Paris Games Week 2017 pour nous infliger un bon coup dans les gencives. Notre Grec préféré (en dehors du sandwich) revient donc dans un nouveau cadre, et il est toujours prêt à fracasser des crânes. Un court trailer nous montre une phase de combat. En explorant une grotte, notre duo père-fils tombe sur une troupe de monstres peu ragoutants. Ayant laissé tomber ses lames iconiques pour une hache qui revient dans sa main tel un boomerang, Kratos fait le ménage dans les rangs ennemis secondé par le petit Atreus qui n’est pas en reste, question castagne. Le gamin semble même être en mesure de filer des coups de main à son pôpa, comme le démontre une attaque combinée fort classe.
Si God of War 4 reste un beat’em all, il s’éloigne de la formule traditionnelle des épisodes de la série, avec ses plans de caméras scriptés. Les combats sont plus immersifs dans ce nouvel épisode. Il sera également possible d’interagir avec quelques éléments du décor, pour faire tomber par exemple du liquide inflammable sur le râble de vos victimes.
Ce God of War 4 donne sacrément envie. Comme souvent dans la série, le jeu est sublime graphiquement et l’ajout du fiston de Kratos permettra, nous n’en doutons pas, de profiter d’une nouvelle dynamique bienvenue dans la série. Patience, petits spartiates ! C’est début 2018 que nous pourrons savoir si Kratos mérite le titre de père de l’année.