Crazy Killer : Plus on est de fous, plus on rit !
C’est officiel, le prochain jeu de Ino-Co, Crazy Killer, est déjà disponible en Early Access grâce au programme d’aide aux développeurs indépendants inCubator de Gaijin Entertainment. Développé avec l’Unreal Engine 4, Crazy Killer est un jeu de déduction dans le style des « whodunnit » dans lequel le joueur va adopter un rôle aléatoire dans chaque bataille : civil, shérif ou killer. Chaque rôle a son propre objectif – les civils doivent survivre, le shérif doit trouver et battre le tueur et le tueur doit éliminer tous les joueurs avant d’être détecté. Le jeu utilise des graphismes inspirés des comic-books et d’une histoire digne d’un roman policier permettant aux joueurs d’incarner différents personnages.
« Le passage en Early Access de Crazy Killer est le deuxième titre parmi de nombreux à venir, mis en avant grâce à l’inCubator de Gaijin Entertainment, du développement au lancement. » nous apprend Anton Yudintsev, CEO de Gaijin Entertainment. « Crazy Killer est basé sur un style de jeu très populaire, mêlant action et enquête dans un format coopératif et multijoueur. »
L’action de Crazy Killer se passe dans un futur proche, au cœur d’un show virtuel. Au début de chaque round, les joueurs ne connaissent pas le rôle des autres en jeu et le tueur est caché dans le groupe. Les joueurs ont pour objectif de le démasquer avant qu’il ne tue tout le monde, en utilisant divers objets et talents. Il faudra prouver aux autres que vous n’êtes pas le killer, sans vraiment révéler votre rôle pour éviter de devenir une cible de choix ! Par exemple, le docteur est capable de soigner les autres joueurs ce qui est très utile pour le groupe, mais cela fait de lui une priorité pour le tueur et il faudra avoir une utilisation tactique de ce talent. De nombreux objets sont à disposition au cours du jeu, mais leur utilisation ne garantira pas forcément la survie de l’équipe. Un détecteur de métal permettra de détecter une arme à proximité, mais le joueur ne saura pas si elle est portée par le shérif ou le tueur ; dans un même temps, cela risque de révéler qui est le shérif et de faciliter le travail du tueur ! Les actions doivent être considérées avec soin, le moindre faux pas peut entraîner la mort. En complément, les joueurs pourront utiliser des apparences différentes pour aider les joueurs à dissimuler leur rôle plus longtemps – par exemple, le shérif peut se dissimuler en mère de famille et le tueur en hispter à caméra. L’habit ne fait pas le moine !