Seuls Two ? Non, seuls One…
Difficile d’être passé à côté du phénomène Rocket League cette année, un jeu indé (made in Psyonix) proposant régulièrement du nouveau contenu gratuit ou payant, connaissant un beau succès dans ses versions PlayStation 4 et PC, au point de remporter le premier prix de sa catégorie lors des Game Awards 2015 (tous les autres résultats sont disponibles sur notre article bilan).
Hybride de football et de Destruction Derby dans son esprit général, Rocket League se veut nettement plus fun en multijoueurs, et les gamers PC et PlayStation 4 peuvent d’ores et déjà s’affronter grâce au cross-play entre les deux versions. Or, voici qu’était annoncé il y a quelques jours un portage du jeu sur Xbox One, avec à la clef des véhicules inédits aux couleurs de Halo ou Gears of War, prévu quant à lui pour février 2016. De quoi ravir les possesseurs de la machine Microsoft pressés d’en découdre avec leurs milliers d’adversaires amateurs de plateformes différentes, histoire de leur montrer qui c’est le patron de l’arène !
Sauf que malheureusement, ces affrontements épiques, ça n’arrivera pas. Obligé de se plier à la politique de Microsoft plutôt frileuse en matière de cross-play avec d’autres systèmes, Rocket League version Xbox One devra donc se cantonner aux bastons entre adversaires possédant la même machine…
Néanmoins, histoire de rattraper un peu le coup, sachez que ce portage du jeu comportera automatiquement les trois DLC évoqués ci-dessus, à savoir Supersonic Fury, Revenge of the Battle-Cars et Chaos Run. Ce qui est bien, mais pas top, comme disaient Les Nuls ; mais ne crachons pas dans la soupe, et faisons avec ce qu’on nous donne…