Rabi-Ribi, Bunny and Clyde.
S’il y a bien une chose que Hugh Hefner (c’est ça, petits marmousins, faites semblant de ne pas savoir qui c’est) a bien compris, c’est que les bunny girls, c’est la vie. Et il en va de même pour les petits gars de chez PQube qui ont décidé de dédier un jeu de plateforme 2D mâtiné de bullet-hell à ces jeunes filles aux longues oreilles. Le nom de ce jeu : Rabi-Ribi (à ne pas confondre avec Rabbi Jacob attention).
Erina est une petite lapinette toute kawaï qui un jour se réveille dans le corps d’une jeune fille, au milieu d’un endroit étrange : l’île Rabi-Ribi. Qu’à cela ne tienne, notre brave Erina, déterminée à retrouver sa vie normale de lapinou, entreprend de rentrer au bercail, mais des événements vont changer ses plans. Munie de Piko, son marteau qui fait bobo et flanquée de son amie Ribbon la fée, Erina va se lancer dans une aventure acidulée.
Moe. Non pas Moe Szyslak, le fameux barman dans les Simpson, mais moe, ce concept japonais qui détermine l’esthétique mignonne. Voilà le mot qui vient à l’esprit quand on porte son regard sur Rabi-Ribi. Le jeu affiche un univers tout mignon ainsi que des graphismes 2D avec une touche rétro (à l’image du moins kawai Roving Rogue que nous avons testé sur Wii U). Le joueur dirige Erina à travers 9 cartes principales et 20 zones secondaires. Les combats seront nombreux, le jeu promettant une quarantaine de boss et des mécaniques de bullet-hell qui devraient corser le challenge.
Rabi-Ribi proposera également 4 niveaux de difficulté, afin de s’adapter à plusieurs types de joueurs ainsi que des modes Boss Rush et Speedrun pour ceux qui, ayant fini le jeu, voudraient un surplus de challenge. Enfin, il promet une profusion de musiques avec 50 pistes disponibles. Ajoutons que le jeu sera traduit en plusieurs langues, parmi lesquelles la nôtre, la langue de Joey Starr.
Enfin disponible sur PlayStation 4 et PlayStation, voici notre test de Rabi-Ribi pour votre plus grand plaisir.