Larry bientôt en charmante compagnie dans Leisure Suit Larry: Wet Dreams Don’t Dry.
Très connue pendant les années 80/90, au moment de l’âge d’or des point&click et le phénomène Lucas Art, la saga Leisure Suit Larry, créée par Al Lowe, a su se démarquer de ses concurrents par un style de gameplay certes tout aussi absurde que Days of the Tentacle, mais avec un humour bien plus en dessous de la ceinture, (parfois même un peu trop) afin de cibler une clientèle de joueurs plus adulte.
Incarnant Larry, un informaticien quarantenaire, un peu looser sur les bords, très seul dans la vie et dont le but est de trouver « l’amour », vous deviez jouer de séduction et de stratagèmes, plus étranges les uns que les autres, afin de séduire, même pour un soir seulement, l’une des nombreuses jolies femmes que vous abordiez.
Mais voilà, après de nombreuses années et suites de jeux, le pauvre Larry termine encore ses soirées, seul… Le Destin semble alors ouvrir un étrange chemin de traverse, arrachant notre héros des 80’s pour le propulser tout droit en 2018 afin de lui donner de nouvelles opportunités de conquête.
C’est ainsi que cette année, Leisure Suit Larry revient dans un nouveau jeu aux décors et personnages dessinés à la main : Wet Dreams Don’t Dry. Et cette fois-ci, notre informaticien bien que toujours habillé comme Austin Power, semble prêt à attaquer la gent féminine contemporaine avec toutes les armes que notre époque lui réserve. Bonjour les réseaux sociaux et autres applications du moment tel que Timber et Instacrap qui vous permettront d’innover de nouvelles mécaniques de drague, en vue de devenir un as de l’amour 2.0.
Enfin, comme on peut s’y attendre, Larry, en parfait gentleman, ne se contentera pas de ces quelques amourettes et semble fasciné par Faith, l’assistante de direction d’une grande entreprise de nouvelles technologies. Il faudra donc faire tout son possible pour attraper cette cible de premier choix. Leisure Suit Larry devrait être disponible le 7 novembre sur PC et nous réserve encore des énigmes tordues et des dialogues à l’humour potache.