La rubrique « Et toi, à quoi tu joues ? » vous donne, chaque mois, un aperçu des coups de cœur de la Rédac’.
Chaque rédacteur et rédactrice qui le souhaite vient nous parler d’un ou plusieurs jeux de son choix, qui lui a (ou ont) particulièrement plu ce mois-ci. Il peut s’agir de jeux récents comme plus anciens, l’objectif est de vous faire partager ce qui nous passionne, tout simplement !
En ce beau (lol) mois de novembre, on vous parle des jeux récents qui nous ont marqués, mais aussi des jeux qu’on a repris, pour le plaisir ou pour les découvrir enfin.
Fabvison – Le plaisir d’un vrai RPG
En début de mois, j’ai eu un peu plus de temps, avant mon test de Hand of Fate 2 et puis de Star Wars Battlefront II. L’occasion donc de jouer pour moi-même et me plonger un peu plus dans l’excellent Divinity: Original Sin II. Quel bonheur, quel plaisir de vivre une histoire profonde dans un jeu de rôle aussi complet et magnifique. Ce sont de longues heures de jeu, réduisant mes heures de sommeil, que j’ai passées sur ce jeu de rôle. Le plus dur dans ce jeu, finalement, c’est d’arrêter d’y jouer lorsqu’on a commencé ! Un jeu que je conseille et reconseille à tout ceux qui veulent vivre une expérience vidéoludique proche d’un bon vieux jeu de rôle sur papier.
Shuunter – Jeux de capes et de lames secrètes
Bon, histoire de placer un contexte sur la chose, chez moi tout le monde joue à Assassin’s Creed Origins, du coup où que j’allais, je voyais ce gameplay partout. J’en ai eu marre, il fallait que je le teste, mais n’ayant fait aucun Assassin’s Creed, je voulais me mettre dans le bain. Ce mois-ci j’ai donc joué aux quatre premiers Assassin’s Creed ! Je vais donc faire un résumé assez concis sur chaque épisode :
- Le premier pose vraiment les bases de l’histoire. Même si le doublage français laisse à désirer, on sent quand même les enjeux, les tensions qui règnent sur les deux époques. Niveau gameplay cependant, il a sacrément mal vieilli, surtout quand on le compare aux autres.
- Le deuxième cependant ajoute tellement de frais, de nouveautés au gameplay, même si quelques bugs viendront poser leur grain de sel, ce fut un réel plaisir que de découvrir les nouvelles mécaniques ajoutées ! Un des deux personnages principaux, Ezio, a ce petit charisme particulier, qui le rend très appréciable. L’histoire reste un élément qu’on savoure.
- Brotherhood nous enrichit d’une mécanique simple, mais ô combien jouissive. Déjà, j’aime les chiffres, j’aime voir des valeurs grossir, des barres de stats et d’expérience se remplir. Alors quand Brotherhood a proposé de gérer une guilde d’assassins avec un système de niveaux, j’ai dit WOW ! Bon, après il y a toujours autant de bugs au compteur si ce n’est pas plus, mais le parcours est un peu plus simple dans cet épisode et les erreurs de trajectoire surviennent moins souvent. Ezio, que l’on suit toujours, permet de garder une histoire en marche afin de l’enrichir, chose faite avec brio.
- Enfin, Révélation aura été mon petit… écœurement. On suit toujours Ezio, et l’histoire reste intéressante, c’est peut-être même l’épisode qui m’aura semblé le plus intéressant sur ce plan, mais au niveau du gameplay rien de grandiose n’est ajouté. On a de petites phases supplémentaires, certes, mais qui ne changent pas tellement le gameplay global. De plus, un bug m’a littéralement empêché de finir le jeu correctement, avec des petits extra. Damn.
Mercutio – En route pour Rapture !
Le mois de novembre a été synonyme pour moi d’aventure sous-marine dans la belle, et un peu folle, ville de Rapture présente dans BioShock. Le premier opus de cette licence, qu’on ne présente plus aujourd’hui, nous invite à se rendre dans une société qui semble utopique mais qui au final cache une part bien sombre. Mélangeant le steampunk et le charme des années 60, BioShock possède un univers qui lui est propre. On se retrouve très vite happé dans un monde loufoque, sombre mais aussi terriblement agréable à jouer. Que ce soient les combats ou l’exploration, tout est très bien fait et explique sans mal le succès du jeu. Pas facile de ne pas vouloir faire le jeu d’une traite tant l’on s’amuse à maltraiter nos ennemis avec les plasmides et autres coups de clé à molette. Bref je vous laisse, j’ai encore des petites sœurs à sauver.
City – Privé de consoles :/
Le domicile est actuellement en pleins travaux, et donc mes chères camarades de jeu sont actuellement inaccessibles. Heureusement, mon amour pour le gaming mobile et mes deux belles tablettes Android auront su étancher ma soif de gaming, et c’est tant mieux, car plusieurs titres excellents sont sortis sur mobile dernièrement. Nous n’en retiendrons cependant que 2 pour les besoins de notre article.
Puzzle Fighter est l’étonnante addition de Capcom à son spin-off de Street Fighter II datant des années 90, et l’on y retrouve à nouveau les figures de proue de l’univers capcomien. Vous aurez alors l’opportunité d’affronter toute une ribambelle de personnages, mais pas à la baston : au puzzle-game. Puzzle Fighter reprend la formule de son aîné, à vous donc d’empiler des gemmes de même couleur pour créer des combos et balancer des attaques dans le museau de votre adversaire. Super fun, et gratuit au téléchargement (prévoyez pas mal de propositions d’achats in-game).
Et puis mon gros coup de cœur du moment : Beat Street. L’amoureux de beat’em up à l’ancienne que je suis se devait de plonger sur ce jeu, où l’on castagne à la pelle des dizaines de mobs et de boss, seul ou à 2 online. Graphismes mignons et retro, gameplay nickel, système de progression, niveaux très nombreux… Impossible de passer à côté, surtout qu’il est gratuit. Une bien belle oeuvre et un succulent hommage au passé.
Essayez aussi Thimbleweed Park, que je ne détaillerai pas ici puisque nous vous en avions livré un test. Excellent jeu.
Medoc – Petit retour en enfance
Le mois de novembre n’a pas brillé par sa diversité vidéoludique. Je me suis concentré sur Super Mario Odyssey, qui m’a fait replonger 20 ans en arrière lorsque je découvrais Super Mario 64. La nouvelle aventure de Mario sur Nintendo Switch est tellement splendide et captivante que j’en oublie tous les malheurs du monde. Ce jeu est une merveille je suis tout fou comme un gosse à chaque session.
Autrement, je m’amuse tirer sur tout ce qui bouge dans Star Wars Battlefront II. Ayant labouré de fond en comble le reboot de 2015 et peu importe que le jeu ait subi un lynchage par rapport aux micro-transactions, je me régale dessus et c’est l’essentiel. Pour un fan de Star Wars comme moi, j’en prends pleins les yeux et les oreilles.