La rubrique « Et toi, à quoi tu joues ? » vous donne, chaque mois, un aperçu des coups de cœur de la Rédac’.
Chaque rédacteur et rédactrice qui le souhaite vient nous parler d’un ou plusieurs jeux de son choix, qui lui a (ou ont) particulièrement plu ce mois-ci. Il peut s’agir de jeux récents comme plus anciens, l’objectif est de vous faire partager ce qui nous passionne, tout simplement !
En ce doux mois d’octobre, la Rédaction en a vu des vertes et des pas mûres ! Il y a eu des jeux pour tous les goûts, de la baston, du RPG, du foot, du multi, de l’horreur… On vous raconte tout ça.
Mercutio – Tous aux abris, voici l’apocalypse !
Ce mois-ci a été rempli de défis pour moi, ne sachant pas à quoi jouer je me suis mis en tête de valider le platine de Fallout 4 auquel je n’avais pas joué depuis un petit moment. Ce quatrième opus de la série Fallout nous propose de nous lancer dans une quête de vengeance afin de retrouver notre fils enlevé. On va donc voyager dans tout le Commonwealth pour vivre d’incroyables aventures. Et des missions qui vont vous marquer, vous allez en connaître plein : que ce soit par l’histoire principale ou par les quêtes secondaires, tout dans Fallout 4 respire bon la liberté. Vous avez la possibilité de faire ce qui vous plaît, quand ça vous plaît.
Le jeu nous propose un univers superbement construit, où tout semble cohérent. Mais ce qui est plus le plus fort, ce n’est pas la manière dont l’univers est construit mais la manière dont vous l’influencez. Je vous disais que l’on pouvait faire ce que l’on voulait, mais cela n’est pas sans conséquences et l’on voit donc les alentours de Boston changer au fil de ces choix (parfois de manière radicale). L’avantage d’un tel jeu, c’est sa rejouabilité et tout comme Skyrim, il y a fort à parier que l’on y jouera encore dans quelques années (et on ne parle même pas de sa multitude de modes).
Fabvison – Il va y avoir du sport !
En septembre, je me dépensais sur les parquets de NBA 2K18, mais ce mois-ci, j’avais besoin d’un retour au vert. Afin de profiter des fraîches pelouses d’automne, j’ai décidé de prendre la manette pour du FIFA 18. Outre le test de ce nouvel opus de la série, j’ai été happé par l’Aventure. J’apprécie énormément cette tendance à la scénarisation des jeux de sport, il faut dire qu’avant je scénarisais moi-même mes parties ! L’histoire assez bien en place d’Alex Hunter m’a donc conquis et je l’ai dévorée tel un roman. C’était aussi l’occasion pour moi de retrouver le mode FUT et même d’en faire un live sur LightninGamer TV. L’expérience m’ayant fort plu, attendez-vous à me revoir sur FIFA 18 pendant quelques mercredis soir !
Mais ce mois-ci, c’est aussi pour moi de longues heures à regarder la coupe du monde de League of Legends, pour vous la résumer chaque semaine. Je me rends ainsi compte que je suis beaucoup trop fan d’e-sport. Mes émotions deviennent de véritables montagnes russes face à ces matchs incroyables et les nombreux rebondissements de cette compétition. Un coup je suis au bord des larmes, un autre je bondis de joie… Et regarder du League of Legends, ça donne envie d’y jouer. Je passe donc également de nombreuses heures sur le MOBA mythique de Riot Games.
Azaliz – Un bon petit RPG
Au départ, je voulais parler de la souffrance et de la frustration que j’ai vécues en jouant au mode campagne de Stronghold 2, mais mon test vous en dira davantage. Pour me relaxer après des parties particulièrement éprouvantes (et ragequittées, pour être exacte), j’ai passé du temps sur un Rogue-like récent, Rezrog. Il s’agit d’un dungeon crawler assez classique : avec l’un des 8 personnages disponibles (représentant chacun une classe différente), on s’aventure dans un niveau de donjon, on tue des montres, récolte de l’expérience et des objets, et accomplit la mission nécessaire pour ouvrir la porte de fin du niveau. On peut ensuite retourner à la taverne pour monter en grade, réparer son équipement ou changer de perso.
Notre personnage est une figurine, qui se déplace par sauts de puce d’une case à l’autre, dans un décor fait de cubes de pseudo-bois empilés avec canettes et parts de pizza en arrière-plan. Tout est donc fait pour qu’on ait l’impression de jouer à un jeu de rôle sur table, mais un jeu de rôle relax. D’ailleurs, ce jeu est parfait pour se détendre ou écouter un podcast en même temps : puisqu’il s’agit d’un tour-par-tour, on n’a pas besoin d’être toujours sur le qui-vive. Même si certains bugs peuvent être assez désagréables (d’un coup, on ne peut plus passer une porte), c’est toujours un plaisir de faire une partie avec mon archère, mon guerrier ou mon invocateur.
City – Des tasses, des flèches et des bastos
Ce mois-ci, beaucoup plus d’activité vidéoludique que ces derniers temps pour ma part. On commence avec Cuphead, une petite merveille au gameplay impeccable, qui nous renvoie aux balbutiements du dessin animé, mais doté d’une difficulté punitive que beaucoup ne supporteront pas. Ceci dit, le jeu est tellement plaisant à manier qu’on y revient sans cesse, et que chaque victoire est terriblement jubilatoire.
Ensuite, j’ai repris Rise of the Tomb Raider, que j’avais à peine commencé à son acquisition, et qui constitue une expérience tout aussi plaisante que son prédécesseur, bien que la surprise de la découverte soit forcément moins présente. La pauvre Lara en prend plein le museau, elle pourrait jouer dans un Die Hard…
Et puis, il y a Kick Ass Commandos, à la fois sur PC et mobile, un jeu typé retro bien bourrin où l’on dézingue des ennemis par dizaines en vue de dessus, qui s’avère aussi jubilatoire que les shoots d’antan.
Shuunter – En garde, mécréant !
Ce mois-ci fut assez calme, vidéoludiquement parlant, mais certaines soirées passées entre amis tournèrent autours d’une parodie gratuite de Nidhogg, Eggnog+ !
Ici le but est simple, il faut aller jeter son corps dans une rivière d’âmes afin de mourir, mais avant de pouvoir y arriver, il faut se battre avec son rival pour savoir qui aura le droit de mourir définitivement. C’est donc une série de 1V1 en PVP soit à l’escrime, soit au karaté qui déterminera qui pourra souffler une dernière fois. Simple en apparence, le jeu cache quelques pépites comme le jet de son épée avec une physique liée aux rebonds, différents moyens de parer, de récupérer les épées en vol ou au sol… qui rendent le jeu nerveux et comique (un jet désespéré d’épée qui rebondit façon cartoon avant de pourfendre l’adversaire, par exemple).
Avec un mode « Basketbrawl » en bonus, Eggnog+ est un vrai plaisir à jouer, il suffit juste d’avoir au moins un(e) ami(e) à portée de main !
Craaazy Geek – De la guerre et de l’horreur !
Le mois d’octobre : l’arrivée de l’automne, les jours qui raccourcissent mais surtout Halloween ! L’occasion pour moi et ma tendre moitié de nous plonger dans les jeux d’horreur. Et quoi de mieux pour se faire peur que l’un des jeux gratuits du PS+ du mois, Amnesia ! N’ayant jamais eu l’occasion de faire le jeu à sa sortie, c’est avec un réel plaisir que je ferme les volets, pousse le son à fond et m’installe tranquillement dans le canapé.
En bon courageux que je suis, j’embraye sur l’excellent Layers of Fear et me plonge dans les tréfonds de la folie de l’esprit humain. Sursauts et stress garantis ! Seul, entre amis ou en couple, c’est l’occasion de se faire peur et de mettre son courage à l’épreuve.
Et pour finir, je suis parti fouler les terres du Mordor dans La Terre du Milieu : L’Ombre de la Guerre. Un pur plaisir de vivre les nouvelles aventures de Talion et de Celebrimbor que je vous laisse découvrir dans mon test.
Medoc – On cogne et ensuite, on réfléchit
Le mois d’octobre a été peu bousculé et j’ai eu peu de temps libre pour le jeu vidéo, néanmoins j’ai quand même pu m’amuser, enfin, je dirais plutôt, me défouler. Oui, ce mois-ci j’ai été très bourrin. J’ai pu combattre des milliers d’ennemis sur le champ de bataille avec Fire Emblem Warriors. C’est un Fire Emblem qui ne demande pas d’effort de la part de votre cerveau. Dans ce jeu, il est question de secouer votre épée, ou toute autre arme blanche, dans le tas. C’est un jeu exutoire franchement plaisant.
Mettre la misère sur des simples IA c’est bien, mais ça ne suffit pas. Je suis donc allé voir du côté des Inklings, afin de badigeonner sols et murs de peinture dans la guerre de territoire toujours aussi fun de Splatoon 2. Parmi les différentes peintures, il manquait le rouge. Ce manque a fait remonter en moi un esprit plus soviétique.
Camarades, soyez rassurés, je suis parti défendre le front Est. Armé de mon fusil et accompagné d’un froid hivernal, j’ai décimé les lignes ennemies dans Battlefield: In the Name of the Tsar.
Misan – De l’aventure, du crado et du rétro
Ce mois d’octobre aura été riche en sorties. Et outre un Utawarerumono: Mask of Truth qui m’aura charmé, South Park : l’Annale du Destin aura véritablement été mon jeu du mois. Et tout cet amour que j’ai pour ce titre je l’ai déversé dans mon test, que vous avez lu avec amour, attention et petits papillons dans les yeux, je n’en doute pas.
Je suis également retourné dans le monde enchanteur de Gransys, monde qui m’avait séduit dans Dragon’s Dogma sur PS3 et qui nous revient sur PlayStation 4 dans une version hachedé comme disent les jeunes. À moi les joies de la chasse aux monstres et des combats épiques et colégram. Musique enchanteresse, ambiance sympathique et final grandiose ont été au programme de mes pérégrinations.
Enfin, je me suis fait un petit plaisir rétro en jouant à Policenauts, jeu de Konami sorti en 1994, dans une version traduite en anglais par un fan, Slowbeef. Ce jeu, issu du cerveau du papa de Metal Gear Solid, est un mélange entre le visual novel et le point’n click s’inspirant librement de l’Arme Fatale. On y suit les aventures de Jonathan Ingram, un flic de l’espace un peu pervers (et sosie de Martin Riggs), et de son équipier Ed Brown (qui lui, ressemble à Richard Murtaugh) alors qu’ils enquêtent sur la disparition d’un scientifique mêlé à une sombre histoire de trafic de drogue.