Hungry Shark World s’en vient nager autour de nos plateformes consoliennes. We’re going to need a bigger boat…
Suite d’un premier épisode mobile déjà très réussi, Hungry Shark World venait à son tour dévorer tout sur son passage en 2016, lui aussi sur supports iOS et Android. Or, si la transplantation de jeux console et PC sur mobile n’est pas rare, le voyage inverse l’est nettement plus, et indique généralement un engouement et une demande évidents de la part des joueurs. C’est le cas ici, puisque Hungry Shark World totalise désormais plus d’un demi milliard de téléchargements sur mobiles, de quoi éveiller la tentation des développeurs et éditeurs (respectivement, Future Games of London et Ubisoft) de porter la grosse bête sur consoles pour les réfractaires au gaming mobile.
C’est donc chose faite, puisque le jeu est désormais disponible sur PlayStation 4, Xbox One et Switch depuis hier 17 juillet, contre une petite dizaine d’euros. Mais de quoi ça s’agit-ce-t-il exactement ? Hé bien, prenez une grosse pincée de Ecco the Dolphin, série de jeux du passé qui vous proposaient de visiter les profondeurs envoûtantes de l’océan, ajoutez-y un bon gros paquet de Sharknado, films déjantés devenus cultes de par leur nanardisme, et vous avez votre Hungry Shark World.
Au menu de ce plateau de fruits de mer, donc, une vingtaine de requins à débloquer, contrôler et faire évoluer en bouffant tout ce qui bouge (bateaux, poissons, nageurs, énormes boss aquatiques ou non…), du petit requin mimi au célèbre Mégalodon, en passant pas le fameux requin-marteau et bien évidemment, la star, le Grand Blanc popularisé par les films Les Dents de la Mer.
Donc si vous aimez l’océan, ce qui serait plutôt bon signe vu les températures actuelles, et que vous vous sentez l’âme d’un grand prédateur marin, n’hésitez pas à plonger dans Hungry Shark World et ses 250 stages parfaitement arcades et débridés, bardés de zones secrètes, de victimes à massacrer et de trésors cachés. A table, camarades, c’est le grand Bruce qui invite, et l’apéro promet d’être opulent !
Petites notes de fin : sachez que le jeu d’origine était proposé gratuitement sur mobiles, avec achats intégrés cela va sans dire ; ici, on risque donc d’avoir droit à un jeu premium dans lequel la progression s’avérera moins poussive que s’il fallait cracher au bassinet de manière sporadique, pratique courante sur mobiles.
Et puis, le gameplay, soyez rassuré, est bien entendu parfaitement adapté aux contrôles physiques des consoles, alors tous à l’eau !
Test Hungry Shark World – Il va vraiment leur falloir un plus gros bateau
City
Hungry Dragon : après l’eau et ses requins, on prend l’air
City
Test Maneater – Un requin qui mord et qui a le mort
Riku