La stratégie par les meilleurs, pour les meilleurs.
At the Gates est un projet de longue date signé Jon Shafer, designer du grand Civilisation V. Après la création de Conifer Games en 2012, Jon Shafer lance une campagne Kickstarter pour financer le premier titre de la compagnie en février 2013, et atteindra plus de 100 000$. ce qui montre l’intérêt des joueurs pour le projet ambitieux du monsieur emblématique.
Six ans plus tard, des informations sont enfin dévoilées à propos de ce jeu de stratégie. On apprend que le joueur contrôlera un royaume d’une tribu barbare prête à en découdre pour faire tomber le règne de l’empire romain. Le titre reprendra la formule du 4X et comprendra un système de carte, système qui évoluera au fil des saisons et qui s’adaptera à la météo, le tout avec un style graphique unique et très coloré, semblable à du dessin fait main.
Shafer a annoncé :
« J’ai toujours été amené à innover avec mes jeux, et At the Gates ne fait pas exception ». « Le genre est devenu un peu fade mais il a toujours un potentiel énorme et c’est ce que je cherche à exploiter… »
Et on lui fait confiance pour redorer le blason du monde des jeux de stratégie, qui est un genre assez élitiste apprécié par une communauté de joueurs très restreinte. At the Gates sera lancé sur Steam le 23 janvier 2019 au prix d’environ 25€. De quoi raviver la flamme des fans de stratégie, surtout quand on sait qu’il est développé par un pilier du genre.
PSVR2 – Premières ventes décevantes, mais pas surprenantes
E3 2023 – Le retour du salon tué dans l’œuf
Qui passe le plus de temps devant les jeux vidéo en 2023 ?
Critique Donjons & Dragons : L’honneur des voleurs – Les Gardiens de la Fantasy
Donjons & Dragons développe le mix parfait entre jeu de rôle papier et RPG en jeu vidéo
Total War – Premier indice vers Medieval III ?
Critique Curse of The Sea Rats – Une aventure sans merveille
Avec peu de faits d’armes à son actif, Petoons Studio, que l’on connaît pour son…
Critique Atari 50 – Refaire l’histoire du jeu vidéo dans ce docu déguisé en compile
Critique Bayonetta Origins: Cereza and the Lost Demon – Diablement merveilleux