Nos impressions sur Call of Duty Advanced Warfare à la Paris Games Week
Bienvenue à la Paris Games Week
Comme chaque année, la Paris Games Week se tient fièrement porte de Versailles. Véritable succès national (européen ?), ce salon vient tant bien que mal concurrencer les grands noms des réunions vidéoludiques comme celui de la Gamescom pour n’en citer qu’un. Tous les gamers de France se retrouvent pour passer un « bon » moment, manette en main et goutte de sueur sur le nez. Malgré une augmentation notable de la surface du salon (environ 50%), on ne peut pas dire que la circulation était fluide, ni même agréable. Une fois de plus, il fallait jouer des épaules afin de se rendre d’un stand à un autre. Microsoft, Sony, Electronic Arts ou encore Ubisoft (pour ne citer que les plus grands noms) étaient présents (même un peu trop) afin d’assurer le spectacle.
Température de 30 degrés, appareil photo vissé aux mains et GoPro armée, tels des guerriers en quête du moindre fait marquant du salon, nous nous sommes mis en mode recherche des titres les plus attendus afin de toucher du bout des doigts nos rêves. Déception, émerveillement ou désillusion, voici mon avis sur cette édition 2014 de la Paris Games Week, à commencer par Call of Duty.
Bon ou pas bon ?
Tant attendu, parfois même critiqué avant même d’être disponible, Call of Duty montrait uniquement son mode multijoueur lors de cette Paris Games Week. Comme tous les ans, le stand consacré au FPS est gigantesque, et comme tous les ans, une queue interminable prend place, remplie de gamers tout surexcités. Un pass VIP plus tard et 2 minutes d’attente auront suffi pour pénétrer dans l’enceinte de la guerre avancée. Guidés par de sympathiques hôtes, nous avons pris place sur un tabouret de couleur noire (nan ok j’arrête avec les détails inutiles). Écran plus que plat, casque Turtle Beach, et PAF, c’est parti pour une domination comme on les aime !
La partie se lance, on choisit sa classe, c’est fluide et on reconnait de suite la patte des développeurs d’Activision. Le gameplay déjà nerveux se voit sensiblement amélioré avec l’ajout d’un accessoire peu commun dans la série : l’exo-squelette, qui vous permettra d’effectuer des doubles sauts et des esquives bioniques. Les killstreaks semblent aussi être de la partie, on retrouve des choses assez hallucinantes, comme un rayon laser directement projeté du ciel, ainsi que des drones, et autre missiles destructeurs. On remarque aussi quelques nouveautés moins criantes, comme la possibilité de voir le visage et l’équipement de vos adversaires/compagnons ainsi que la possibilité de recharger plus vite en appuyant sur la touche « recharger » deux fois de suite.
Difficile de faire de longs textes lorsqu’on joue à un jeu une dizaine de minutes. Sachez que Call of Duty Advanced Warfare est déjà disponible depuis le 4 octobre 2014, soit hier ! En attendant, si vous n’êtes toujours pas convaincu par le nouveau bébé d’Activision, nous vous fournirons un test du jeu dans très peu de temps.